En marge des quais de la Seine
La Seine et les quais, " La voie royale " de Paris, toutefois même si ce secteur de Paris à toujours eu ma préférence d'autres quartiers,d'autres rues ont retenus mon attention, a commencer par le 13 ème arrondissement de paris ou j' ai vu le jour.
Portraits pris au hasard des ballades
Le mur des fédérés au cimetière du père lachaise. A cet endroit précis, plusieurs centaines de communards furent massacrés par l'armée de Thiers le 28 mai 1871.
On l’a tuée à coups de chassepot,
À coups de mitrailleuse
Et roulée avec son drapeau
Dans la terre argileuse. Et la tourbe des bourreaux gras
Se croyait la plus forte.
Refrain
Tout ça n’empêche pas Nicolas
Qu’ la Commune n’est pas morte.
Tout ça n’empêche pas Nicolas
Qu’ la Commune n’est pas morte !
Comme faucheurs rasant un pré,
Comme on abat des pommes,
Les Versaillais ont massacré
Pour le moins cent mille hommes.
Et les cent mille assassinats,
Voyez ce que ça rapporte.
On a bien fusillé Varlin,
Flourens, Duval, Millière,
Ferré, Rigault, Tony Moilin,
Gavé le cimetière.
On croyait lui couper les bras
Et lui vider l’aorte.
Ils ont fait acte de bandits,
Comptant sur le silence.
Achevez les blessés dans leur lit,
Dans leur lit d’ambulance
Et le sang inondant les draps
Ruisselait sous la porte.
Les journalistes policiers,
Marchands de calomnies,
Ont répandu sur nos charniers
Leurs flots d’ignominie.
Les Maxim’ Ducamp, les Dumas
Ont vomi leur eau-forte.
C’est la hache de Damoclès
Qui plane sur leurs têtes.
À l’enterrement de Vallès,
Ils en étaient tout bêtes
Fait est qu’on était un fier tas
À lui servir d’escorte
C’ qui prouve en tous cas Nicolas,
Qu’la Commune n’est pas morte.
C’ qui prouve en tous cas Nicolas,
Qu’la Commune n’est pas morte !
Bref tout ça prouve au combattant
Qu’ Marianne a la peau brune,
Du chien dans l’ ventre et qu’il est temps
D’crier vive la Commune !
Et ça prouve à tous les Judas
Qu’si ça marche de la sorte
Ils sentiront dans peu nom de Dieu,
Qu’la Commune n’est pas morte.
Ils sentiront dans peu nom de Dieu,
Qu’la Commune n’est pas morte !Paroles d'Eugène Pottier (1886) sur l'air de T'en fais pas Nicolas de Parizot.
Jean-Baptiste Clément l'auteur du " temps des cerises " devenu l'hymne de la commune, bien que cette chanson soit antérieur au 76 jours de la commune de Paris.
La semaine sanglante J.B. Clément (Juin 1871)
Air : « Le chant des paysans », de Pierre Dupont (1849). Cette chanson a été écrite par J.B. Clément en pleine période de répression alors qu'il se cachait dans Paris « J'entendais toutes les nuits des coups de fusil, des arrestations, des cris de femmes et d'enfants. C'était la réaction versaillaise qui poursuivait son oeuvre d'extermination ».
Sauf des mouchards et des gendarmes, On ne voit plus par les chemins,
Que des vieillards tristes en larmes,Des veuves et des orphelins.
Paris suinte la misère, Les heureux même sont tremblants,
La mode est au conseil de guerre, Et les pavés sont tous sanglants. Refrain
Oui, mais...Ça branle dans le manche, Les mauvais jours finiront, Et gare à la revanche Quand tous les pauvres s'y mettront ! Les journaux de l'ex-préfecture, Les flibustiers, les gens tarés, Les parvenus par l'aventure, Les complaisants, les décorés, Gens de bourse et de coin de rues, Amants de filles au rebus, Grouillent comme un tas de verrues, Sur les cadavres des vaincus.
(Refrain) On traque, on enchaîne, on fusille, Tout ce qu’on ramasse au hasard : La mère à côté de sa fille, L’enfant dans les bras du vieillard. Les châtiments du drapeau rouge Sont remplacé par la terreur De tous le chenapans de bouge Valets des rois et d’Empereur.
(Refrain)
Inaugurée en 1891, le sacré coeur se voulait " lieu expiatoire des crimes de la commune "
Le Panthéon " Aux grands hommes la patrie reconnaissante "
La place Saint Médard " Un théâtre permanent " d'après E.Atget , et la rue Mouffetard ses petits métiers et son marché du dimanche.
"Au coin de la rue Saint Vincent et de la rue des Saules, situé sur la pente nord de la Butte Montmartre, apparaît le vieux Lapin Agile posé, depuis près d’un siècle et demi, sur la terre, comme une lampe sourde. Une étrange petite maison de Noël où chacun peut entendre la chanson de son attendrissement personnel."
(dixit Pierre Mac orlan)
Le café des deux moulins rue Lepic ou se déroule " le fabuleux destin d'Amélie Poulain" inutile de préciser que depuis le film, sa fréquentation a considérablement augmentée.
Toujours à Montmatre, la place du Tertre, ses peintres et ses touristes et maintenants ses "bobos"
du deuxième étage de la tour Eiffel
Trois sites du nouveau visage Parisien; l'espace grand écran de la place d'italie, la nouvelle gare Montparnasse et le front de Seine de Bercy.
Le canal St Martin, et son célèbre " hotel du Nord ". c'était avant les don Quichotte
Mai 2004, 4 ème édition du rallye photo Paris.Pour cause de douleurs dans le dos je ne suis pas présent ce jour là. Mes petits copains se font une joie de m'envoyer cette petite carte de paris. Blagueurs !!!
Ménilmontant mais oui madame c'est la que j'ai laissé mon coeur ....
Le quai Panhard et Levassor dans le bas du 13ème.
La station de métro Charonne. Qui se rappel de la manifestation du 8 février 1962 ou la police a tué huit militants anti fascistes lors d'une manifestation.
Boputique de spiritueux l' Opéra Garnier Magasin le prinptemps
avenue des Gobelins
Place St Michel Canal de l'Ourq cour du commerce
La cour du commerce
Ce passage, ouvert en 1735, formait à l'origine un angle qui reliait la rue de l'Ancienne Comédie à la rue Saint André-des-Arts. Construit à l'emplacement du fossé de l'enceinte de Philippe-Auguste, comblé en 1582 entre les portes de Nesle et Saint-Germain, il sera prolongé vers la rue de la Boucherie vers 1776, aujourd'hui absorbé par le boulevard Saint-Germain. Percé à partir de 1866, ce dernier amputera le passage de la moitié de sa surface.
La Cour du Commerce doit son nom à la présence de nombreuses boutiques qui entouraient alors deux jeux de boules. Marat imprimera son journal, l'Ami du peuple, au n° 8. Le charpentier allemand du nom de Schmidt mettra au point la guillotine dans son atelier du n° 9. La statue de Danton, érigée sur la place de l'Odéon sur le trottoir opposé du boulevard Saint-Germain, occupe l'emplacement de son appartement de sept pièces qu'il habitera dans la cour, à partir de 1789.
Le port de plaisance et en arrière plan la colonne commémorative de juillet 1830